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LA VIE EST TROP COURTE POUR NE PAS LA BLOGGER... IL FAUT ECRIRE SES MEMOIRES DE VOYAGE AVANT DE NE PLUS EN AVOIR ... RESTER C'EST EXISTER MAIS VOYAGER C'EST VIVRE ....QUAND RIEN N'EST PREVU TOUT EST POSSIBLE ...LE MONDE EST UN LIVRE ET CEUX QUI NE VOYAGENT PAS N'EN LISENT QU'UNE PAGE ....

ALAJUELA - SAN JOSE

ALAJUELA

Le premier jour de mes recherches, je suis tombée sur le site de Pierre https://www.toutcostarica.com

Pierre est un Français établi au CR depuis 20 ans qui a créé ce réseau solidaire francophone pour aider, conseiller et informer les voyageurs au CR et partager avec eux quelques "bons plans" . Le réseau s'appelle "Tout Costa Rica" .. Il est géré par une équipe de Français.
Il propose de vous mettre en relation avec des loueurs de voiture sérieux et il est en lien avec 4 hôtels surnommés "chez Pierre" à Alejuela centre ville et autres.

3 nuits dans l'hôtel de Pierre - nous avons réservé le moins cher à ALAJUELA tout proche de l'aéroport - c'est le B&B à 25 $ la chambre avec 2 lits jumeaux petit déjeuner compris.
et une navette (15$) viendra nous chercher.
et avons retenu un 4x4 - comme c'est en haute période les prix ont doublé  !!




Les immanquables de San José et ses environs 
Alajuela
Le musée de l’Or, une des plus belles collections d’objets d’Amérique latine. 
Le musée de Jade, et sa présentation interactive et ludique. 
Le Musée national, pour un aperçu général du Costa Rica ; s’attarder dans le mariposario (volière à papillons) à l’entrée. 
Le centre-ville. Se promener tout le long de l’avenida Central, piétonne, et se reposer autour du Théâtre national sur la plaza de la Cultura. 
Le Théâtre national. Participer à une visite guidée pour découvrir les merveilles produites grâce à la production du café. 
Déjeuner dans une soda au Mercado Central et y acheter des souvenirs en tout genre. 
Les quartiers Amón et Otoya. Flâner dans ces vieux barrios qui ont gardé beaucoup de charme. 
Fréquenter les intellectuels et les bobos costariciens à la galerie Talentum, au café El Sótano ou au restaurant Mundo. Faire votre marché le samedi matin à la feria verde
Arpenter le barrio California et admirer les fresques murales colorées. 
Profiter d’un pique-nique avec les Ticos le week-end dans l’agréable parc de la Sabana. 




SAN JOSE



Secteur ouest 
Le secteur ouest de la capitale est connu notamment pour le paseo Colón. Seule avenue à détenir un nom, c’est aussi l’artère principale de San José qui mène au centre-ville en venant de l’aéroport. C’est là que vous trouverez la majorité des loueurs de voiture. Bordée d’immeubles à l’architecture quelconque, pour l’essentiel moderne, on y trouve toutefois quelques maisons anciennes. 

Secteur est 
C’est le secteur le plus huppé et le plus sûr de la capitale, bien que la classe aisée délaisse petit à petit San José pour San Pedro, Santa Ana ou Escazú. 
Dans cette zone qui regroupe de nombreux francophones, en raison de la présence du consulat et du lycée franco-costaricien dans 
le barrio Curridabat, on vous conseille le Paseo Gastronómico La Luz, calle 33, dans le barrio Escalante (entre les calles 23 et 37 et les avenidas 5 et 15). Dans ce quartier récent et plus vert, les maisons sont souvent entourées de jardins. C’est aussi là que le président Solís habite, dans un modeste condominio
Le barrio Los Yoses (de la calle 37 à San Pedro) est le quartier résidentiel de San José : il abrite la plupart des ambassades et les résidences des vieilles familles costariciennes. 
Le barrio Francisco Peralta débute calle 29 et devient Los Yoses Sur, au sud du Yoses précédent. C’est un quartier des années 1960 comme tous les quartiers de cette périphérie de San Jo 

Taxi 
Il y en a partout, même dans les coins les plus reculés de la capitale. En raison du défaut de signalisation déjà évoqué, de nombreux chauffeurs de taxi auront des difficultés à trouver les rues et avenues pour vous reconduire à votre hôtel de nuit. Avant de monter dans un taxi, s’assurer que le chauffeur connaît bien le lieu où vous résidez, sinon refusez de payer le supplément ; certains d’entre eux sont capables de vous faire visiter la ville à contresens... 
Assurez-vous également que le véhicule possède un compteur (appelé la maría) en état de marche dès que vous montez dans le véhicule ; certains chauffeurs refusent de le mettre en route pour arnaquer les touristes ! Si jamais le chauffeur refuse en prétextant qu’il connaît le montant de la course, surtout ne le croyez pas (prix doublé ou triplé en général), demandez alors gentiment à descendre du taxi ; vous en trouverez rapidement un autre plus honnête et avec compteur en marche. Tous les chauffeurs ne sont pas malhonnêtes, heureusement ! Comptez 2 000 colones en moyenne pour une petite course dans le centre-ville et jusqu’à 10 000 colones pour rejoindre la proche banlieue comme Escazú ou Santa Ana. 

Enfin, méfiez-vous des taxis qui prétendent travailler au forfait (trois fois plus chers).

Se restaurer 
Pause gourmande 
CAFE DELICIAS 

Calle 1 
Centre-ville d’Alajuela 
& + 506 2431 4722 
www.cafedelicias.com 
A 100 m au sud de la poste 
Comptez 4 000 colones pour un plat, un peu moins pour un sandwich ou une salade. Wi-fi gratuit. 
Le Café Délicias est l’endroit idéal pour déguster de gros gâteaux crémeux comme on n’en trouve (malheureusement) plus chez nous. Cette cafétéria centrale, essentiellement fréquentée par les Ticos, possède une salle ouverte sur la rue, aérée et très agréable. On peut y faire toutes sortes de collations. Parfait pour une pause café à votre arrivée à Alajuela, ou après une journée d’excursion. 

Bien et pas cher 

EL CHANTE VEGANO 
Alajuela 
& +506 8911 4787 / +506 2440 3528 
www.elchantevegano.com 
A 25 m à l’ouest de la poste 
Ouvert du mardi au samedi de 11h à 20h et le dimanche de 11h à 16h. Compter de 3 400 à 5 500 colones pour un plat. 
Paulo Benavides, danseur professionnel, a ouvert le premier restaurant végétarien et vegan d’Alajuela en novembre 2013. A présent, ce sont les petits légumes qu’il fait valser dans la poêle. La devanture rouge et verte d’El Chante Vegano annonce l’esprit du lieu : ici, que des produits frais et issus de l’agriculture biologique. La terrasse avec ses grandes tables en bois est agréable pour déguster les spécialités, comme le hamburguesa de hongo portobello, un burger avec des champignons aussi gros que des steaks ! Le chef peut se targuer d’avoir reçu la télévision locale dans son établissement à maintes reprises 

MERCADO CENTRAL 
Avenida Central Juan Lopez del Corra, entre calle 4 y calle 6 
Ouvert de 6h à 18h. Plat typique entre 2000 et 3000 colones, jus de fruits frais entre 800 et 1200 colones, petit déjeuner entre 1500 et 3000 colones. 
Petit marché traditionnel bordé de sodas où vous trouverez à vous restaurer pour pas cher. Propre et ambiance sympathique. 

MONTELEONE 
Avenida 5, calle 2 
Centre-ville d’Alajuela 
& + 506 4030 4506 
www.facebook.com/monteleonecr2 
Ouvert tous les jours de 12h à 23h45. wi-fi. Accueil des personnes à mobilité réduite. 
A la fois restaurant, bar à cocktails et bar musical, on y sert, dans une ambiance festive, des plats inspirés des cuisines du monde. Préparations à base de viande, menus végétariens, crustacés et poissons sont tous excellents, et accompagnés d’une carte de vins d’Europe et d’Amérique. C’est un endroit où les routards se rencontrent et écrivent leurs carnets de voyage. Le patron fait beaucoup d’efforts pour parler français 

À voir – À faire 
MERCADO MAYOREO 

Plaza Ferias 
Chaque vendredi de 14h à 20h et le samedi jusqu’à midi. 
Peu fréquenté par les touristes, ce beau marché typique rassemble des producteurs de fruits et de légumes locaux, et des étals proposant tout et n’importe quoi dans une ambiance festive

Shopping 
SOUVENIR MUSEUM 

N 712, La Ceiba 
& +506 2441 5639 
1 km au nord des Tibunales de Justicia et 200 m au nord de l’automercado, route vers le Parque Nacional volcan Poás. 
Ouvert du lundi au samedi de 10h à 18h. 
La boutique-musée Souvenir Museum a pour objectif d’encourager le développement des communautés artisanales du pays. Dans un seul lieu, vous pourrez à la fois découvrir l’histoire culturelle du Costa Rica et acheter de l’artisanat. On y trouve de tout, depuis la vannerie jusqu’aux masques en passant par les bijoux (de bon goût). Pratique pour ceux qui n’ont pas prévu de séance shopping à San José.



SAN JOSE
Petit guide de survie pour s’orienter dans San José 
Un peu de vocabulaire. Calle : rue. Avenida : avenue. Cuadra : 100 m ou distance entre deux rues ou deux avenues (block aux Etats-Unis). Sur : sud. Oeste : ouest. Norte : nord. Este : est. 
La première méthode pour se repérer en ville consiste à se référer aux numéros des rues et des avenues. Cela ressemble à une partie de bataille navale (A3/C12 par exemple). Les rues et les avenues se croisent à angle droit, et portent un numéro selon leur position par rapport au centre ; les avenues sont orientées ouest/est et les rues nord/sud… On formule les adresses d’après les rues ou avenues qui délimitent le pâté de maisons. Si l’adresse notée sur le bout de papier que vous avez entre les mains se lit ainsi : « calles 11 y 13, avenida Central, San José », il faudra vous rendre sur l’avenida 0 ou Central, entre les rues 11 et 13 pour y trouver le Teatro del Angel de San José. 

La deuxième méthode s’acquiert avec de la pratique. Les Ticos se servent plus souvent des distances et des points cardinaux pour s’orienter à partir de lieux connus de tous, ou de bâtiments plus grands que les autres (la cathédrale, le parc central, le magasin X, la cabine téléphonique, mais aussi l’arbre Y – il y a même parfois des repères qui n’existent plus mais que tous les Ticos ont encore en tête…). Si vous sentez que vous vous perdez, demandez votre chemin en essayant d’obtenir un maximum d’indications concrètes (les habitants ont tendance à rester assez flous dans leurs explications) : c’est le moyen le plus sûr de ne pas perdre trop de temps.








On remarque aussi le tout nouveau barrio Chino, anciennement Paséo de los Estudiantes, une zone piétonne à l’image d’un petit Chinatown, mais sans les Chinois. En fait, il n’y a que l’arche (avec l’église de la Soledad derrière...) qui permette de l’identifier. Ce « quartier », le tout premier du genre dans un pays d’Amérique centrale, est né en 2013 dans le cadre du renforcement des échanges avec la Chine. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il s’agit d’un flop, et les petites boutiques ont du mal à maintenir leur activité dans le sud du boulevard. En revanche, les petits Josefinos apprennent le chinois dans l’école dédiée, encouragés par leurs parents en vue de leur future carrière. Elle accueille à présent plus de 150 élèves. Insolite : juste devant l’église, au coeur du parc, vous trouverez une statue de John Lennon, réplique de celle de La Havane. Elle a été construite en l’honneur des Beatles, qu’une partie de la population a considérés comme un groupe satanique au sommet de leur gloire. On brulait donc leurs CD et vinyles en place publique. Aujourd’hui, l’image du groupe a bien changé et la ville a souhaité construire cette statue en leur honneur. 


Le marché central (Mercado Central) et le marché Borbón (marché aux charrettes) sont situés entre l’avenida 0 (Central) et les calles 6 et 8. On trouve sur le premier des vêtements, des fleurs, de l’artisanat et des plats traditionnels, tandis que le marché Borbón offre fruits, légumes, viandes et poissons. Sans vouloir vous effrayer, il est bon de rester vigilant et de garder un oeil sur vos affaires. Comme partout, la masse a tendance à attirer les parasites ! 

Le quartier de la Coca-Cola (du nom de sa gare routière) est situé à l’ouest des marchés. A éviter la nuit pour les risques que peut encourir 
une personne seule ; mais comme dans toutes les gares du monde, les risques sont les mêmes qu’ailleurs et ne sont pas propres à San José 

Le barrio Amón, derrière l’immeuble de l’INS, est le plus ancien. Les magnifiques demeures de style espagnol, que l’on peut longer entre les calles 0 et 7 et les avenidas 5 et 13, sont pour la plupart devenues des bureaux ou des commerces, et se reconvertissent peu à peu en hôtels colorés 

Le barrio Otoya (de la calle 7 à la calle 15 et entre les avenidas 7 et 11), de la même époque que le barrio Amón, est fréquenté pour son parc zoologique Simón Bolívar aux imposants arbres centenaires, pour l’ambassade du Mexique et pour la Maison jaune (Casa Amarilla) qui abrite le ministère des Affaires étrangères, en bordure du Parque España, ou pour l’Edificio Metálico, dont les pièces métalliques ont été importées de Belgique. 
Le barrio Aranjuez (entre les calles 15 et 23 et les avenidas 7 et 15) est reconnaissable à ses petites maisons en bois construites dans les années 1930. 
Au sud de l’avenida Central, les quinze pâtés de maisons qui entourent la cathédrale de San José entre les avenidas 0 et 10 et les calles 0 et 9 sont simplement appelés Catedral. Les immeubles sont bas et l’un d’eux abrite le premier lycée fondé à San José, en 1888, pour l’enseignement des jeunes filles. 
L’église de la Solitude a donné son nom au quartier La Soledad, qui s’étend entre les avenidas 4 et 6 et les calles 9 et 15. On trouve dans ces maisons beaucoup de bureaux et de boutiques en vogue. 


Autour de la Cour suprême 

voilà la question qu’on pourrait également se poser comme lui .. mais ça on demandera pendant le briefing de Pierre .. ne pas oublier  :
Bonjour,

Nous voudrions prendre un bus de San José à Cahuita le 1 février 2014, tôt le matin (6h?). C'est un samedi.

Je n'arrive pas à trouver avec certitude les informations suivantes:
- de quelle gare de bus faut-il partir à San José? Terminal Norte Atlantico (Terminal San Carlos) ou
Terminal del Caribe?
- faut-il réserver son bus à l'avance? (nous aimerions prendre celui de 6 h, voire peut-être 10h, pour arriver relativement tôt à Cahuita avec la compagnie de bus MEPE car cela ne coûte pas cher mais le problème est que nous arrivons la veille assez tard, vers 23h) J'ai lu que si on partait le samedi matin (ce qui sera notre cas), il arrive qu'il n'y ait plus de places. Mais si je regarde le coût pour réserver un ticket de bus à l'avance via internet, le prix est beaucoup plus élevé (+/- 4 fois plus cher). Faut-il quand même mieux réserver nos tickets de bus à l'avance? ou pouvons-nous les acheter directement sur place sans risque de ne pas avoir de place?

Un tout grand merci d'avance pour votre aide et conseils éclairés.

Virginie

voilà la réponse :
Bonjour Virginie,

Pour venir à Cahuita, vous devez partir du terminal Caribe. Pour l'achat du billet, vous pouvez le faire le jour même, normalement il y a toujours quelques places.

Bien cordialement,
Patrice

ça ne va pas être si facile que ça 
Levé à 5h, nous sommes à 5h30 à la gare routière desservant la côte caraïbe. Le bus pour 6h à destination de Cahuita est déjà plein et il va falloir attendre le bus de 11h. Par miracle 3 allemandes ont acheté 2 tickets en trop et nous les propose au prix normal (6600 ¢). Quelle chance, les vacances commencent bien.
Nous partons à 6h, le bus est rempli de touriste, majoritairement des américains. Le trajet est assez sympa, la végétation luxuriante nous permet de déguster ces premiers paysages

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